Ce tweet digne des trolls les plus lourdingues sévissant sur les réseaux sociaux émane donc… d’un député.
Caramba, mauvaise pioche ! Cela ne pouvait plus mal tomber.
Quiconque a couvert ces manifs le sait : les journalistes sont, pour les gilets jaunes, une profession démonétisée. Leur faire retrouver crédit passe par une implacable quête de vérité.
Ils tiennent sur les doigts d’une seule main, et encore, celle d’un ectrodactyle…
Si l’agression de cette équipe de BFM TV est évidemment absolument condamnable, elle en dit long sur l’état de délitement du lien entre la presse et les Français.
Il faut peut-être dire à Marlène Schiappa d’arrêter de jouer avec les allumettes, n’est-ce pas ?
En ce samedi 24 novembre était organisée une marche contre les violences sexistes et sexuelles. Réaction, au micro de Boulevard Voltaire, de Gabrielle Cluzel, auteur
Face à votre gilet ensoleillé, les petites coquetteries vestimentaires de FI paraissent bien conventionnelles.
Ces religieuses semblent sorties d’un film de Louis de Funès, d’une douce France dont ils sont nostalgiques et que l’on n’appelait pas encore, alors, la France périphérique.
Vous l’avez remarqué, le mouvement du 17 novembre n’est pas très organisé. Mais c’est ce côté brouillon qui, somme toute, est gage d’authenticité.
La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.
Un jour, l’Histoire vous rendra justice, ainsi qu’à tous ceux qui se sont sacrifiés et pour lesquels la vision de « l’ange de Dien-Bien-Phu » a été peut-être comme un avant-goût du ciel.
C’est ainsi que Clovis devint le père d’un Occident que l’on aurait pu croire, déjà alors, définitivement condamné.
Dans ce name-dropping manquent quelques mots-clés, comme Éric Zemmour ou prêtre pédophile, mais il faut en garder pour la suite, la série ne fait que commencer, olé !
Une journaliste livre, chez Laurent Delahousse, les résultats de son enquête et le titre pourrait en être celui d’une comédie de Shakespeare : beaucoup de bruit pour rien.
Dire que l’on raille la goujaterie machiste de leur propre président…
Le visage tuméfié, sans argent, passeport ni billet d’avion, le vieux curé a passé sa première nuit lyonnaise à l’hôpital.
Il en va, visiblement, de cela comme du reste dans notre pays à deux vitesses : il y a loi et loi.
Pourquoi faut-il lire Les Bâtards de Sartre, de Benoît Rayski ? D’abord parce que ce petit livre appartient à un genre en voie de disparition
Le seul journal où la GPA n’est pas, c’est… le Journal officiel. C’est un détail qui n’a semble-t-il pas effleuré les rédactions qui en font, de facto, la promotion.
Albert Londres recommandait au journaliste de porter la plume dans la plaie. Pas de la couvrir discrètement d’une grande couche de Tipp-Ex®…
Son fonds de commerce politique, c’est en principe celui de l’identité heureuse qui pense printemps. Celui du vivre ensemble qui s’enrichit de la diversité.
Jusqu’à quand les Français honnêtes, de quelque bord qu’ils soient, vont-ils accepter ce criant deux poids deux mesures ambiant sans moufter ?
Certains disent que la GPA suivra la PMA. Ils ont tort, elle est déjà là.
Emmanuel Hirsch a une solution : « Il faut éduquer et informer les personnes qui sont défavorables. »
Que se serait-il donc passé si Éric Zemmour avait susurré les mêmes gentillesses sur Hapsatou Sy que Rokhaya Diallo sur Charlotte d’Ornellas ?
Le livre est lourd mais la plume légère.
Ce tweet digne des trolls les plus lourdingues sévissant sur les réseaux sociaux émane donc… d’un député.
Caramba, mauvaise pioche ! Cela ne pouvait plus mal tomber.
Quiconque a couvert ces manifs le sait : les journalistes sont, pour les gilets jaunes, une profession démonétisée. Leur faire retrouver crédit passe par une implacable quête de vérité.
Ils tiennent sur les doigts d’une seule main, et encore, celle d’un ectrodactyle…
Si l’agression de cette équipe de BFM TV est évidemment absolument condamnable, elle en dit long sur l’état de délitement du lien entre la presse et les Français.
Il faut peut-être dire à Marlène Schiappa d’arrêter de jouer avec les allumettes, n’est-ce pas ?
En ce samedi 24 novembre était organisée une marche contre les violences sexistes et sexuelles. Réaction, au micro de Boulevard Voltaire, de Gabrielle Cluzel, auteur
Face à votre gilet ensoleillé, les petites coquetteries vestimentaires de FI paraissent bien conventionnelles.
Ces religieuses semblent sorties d’un film de Louis de Funès, d’une douce France dont ils sont nostalgiques et que l’on n’appelait pas encore, alors, la France périphérique.
Vous l’avez remarqué, le mouvement du 17 novembre n’est pas très organisé. Mais c’est ce côté brouillon qui, somme toute, est gage d’authenticité.
La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.
Un jour, l’Histoire vous rendra justice, ainsi qu’à tous ceux qui se sont sacrifiés et pour lesquels la vision de « l’ange de Dien-Bien-Phu » a été peut-être comme un avant-goût du ciel.
C’est ainsi que Clovis devint le père d’un Occident que l’on aurait pu croire, déjà alors, définitivement condamné.
Dans ce name-dropping manquent quelques mots-clés, comme Éric Zemmour ou prêtre pédophile, mais il faut en garder pour la suite, la série ne fait que commencer, olé !
Une journaliste livre, chez Laurent Delahousse, les résultats de son enquête et le titre pourrait en être celui d’une comédie de Shakespeare : beaucoup de bruit pour rien.
Dire que l’on raille la goujaterie machiste de leur propre président…
Le visage tuméfié, sans argent, passeport ni billet d’avion, le vieux curé a passé sa première nuit lyonnaise à l’hôpital.
Il en va, visiblement, de cela comme du reste dans notre pays à deux vitesses : il y a loi et loi.
Pourquoi faut-il lire Les Bâtards de Sartre, de Benoît Rayski ? D’abord parce que ce petit livre appartient à un genre en voie de disparition
Le seul journal où la GPA n’est pas, c’est… le Journal officiel. C’est un détail qui n’a semble-t-il pas effleuré les rédactions qui en font, de facto, la promotion.
Albert Londres recommandait au journaliste de porter la plume dans la plaie. Pas de la couvrir discrètement d’une grande couche de Tipp-Ex®…
Son fonds de commerce politique, c’est en principe celui de l’identité heureuse qui pense printemps. Celui du vivre ensemble qui s’enrichit de la diversité.
Jusqu’à quand les Français honnêtes, de quelque bord qu’ils soient, vont-ils accepter ce criant deux poids deux mesures ambiant sans moufter ?
Certains disent que la GPA suivra la PMA. Ils ont tort, elle est déjà là.
Emmanuel Hirsch a une solution : « Il faut éduquer et informer les personnes qui sont défavorables. »
Que se serait-il donc passé si Éric Zemmour avait susurré les mêmes gentillesses sur Hapsatou Sy que Rokhaya Diallo sur Charlotte d’Ornellas ?
Le livre est lourd mais la plume légère.
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